Contribution n°265 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 juillet 2025 à 11h19
Déposée le 6 juillet 2025 à 11h19
Demandé au service des routes du Département comment il ont répondu au sujet de la route Coutances Saint Lo ? le grand projet est annulé pour un aménagement de la route actuelle.
Il faut arrêté les massacres de détruire tout sur notre passage sur cette planète.
Il faut arrêté les massacres de détruire tout sur notre passage sur cette planète.
Contribution n°264 (Web)
Par Chauvin edwige
Déposée le 6 juillet 2025 à 11h14
Déposée le 6 juillet 2025 à 11h14
Je trouve que la variante A est la plus judicieuse et la moins dangereuse. Elle permet un contournement de la zone commerciale de saint pair rendant cette zone moins dangereuse pour les habitants mais aussi pour les piétons et les cyclistes.
Contribution n°263 (Web)
Par Marie-Noëlle
Déposée le 6 juillet 2025 à 10h49
Déposée le 6 juillet 2025 à 10h49
Bonjour,
Je suis propriétaire et réside en fait au 954 Route Nationale, c'est à dire au Croissant le long de la RD673.
J'ai assisté à la réunion à Granville; votre projet présente un contournement du Croissant à 1x2 voies, du rd-pt de la CCI à un rd pt à créer au niveau du RD572 avec un réfection de cette RD pour revenir sur la route actuelle d'accès à Granville.
Mr le Directeur des routes a indiqué que seul 30% du trafic était des déplacements de transit (donc 70% des déplacement de résidents).
Quand j'ai indiqué qu'un axe à 1x2 voies ne résoudrait pas les problèmes d'engorgement et que les conducteurs continueraient à emprunter le chemin le plus court (c'est-à-dire l'actuel), il m'a été répondu qu'augmenter les voies n'était pas utile puisque le trafic se diviserait en 2 parties égales. C'est faux, puisqu'avec cette conception, 70% du trafic se dirige vers Granville via la RD673, les conducteurs ne faisant pas un détour pour emprunter le contournement.
Je reste persuadée et favorable à un axe nouveau ( le projet initial 2x2 voies) qui seul assurera une continuité des déplacements des véhicules et constituera un investissement d'avenir sur lequel il ne sera pas nécessaire de revenir au bout de 5 ou 10 ans.
Merci.
Je suis propriétaire et réside en fait au 954 Route Nationale, c'est à dire au Croissant le long de la RD673.
J'ai assisté à la réunion à Granville; votre projet présente un contournement du Croissant à 1x2 voies, du rd-pt de la CCI à un rd pt à créer au niveau du RD572 avec un réfection de cette RD pour revenir sur la route actuelle d'accès à Granville.
Mr le Directeur des routes a indiqué que seul 30% du trafic était des déplacements de transit (donc 70% des déplacement de résidents).
Quand j'ai indiqué qu'un axe à 1x2 voies ne résoudrait pas les problèmes d'engorgement et que les conducteurs continueraient à emprunter le chemin le plus court (c'est-à-dire l'actuel), il m'a été répondu qu'augmenter les voies n'était pas utile puisque le trafic se diviserait en 2 parties égales. C'est faux, puisqu'avec cette conception, 70% du trafic se dirige vers Granville via la RD673, les conducteurs ne faisant pas un détour pour emprunter le contournement.
Je reste persuadée et favorable à un axe nouveau ( le projet initial 2x2 voies) qui seul assurera une continuité des déplacements des véhicules et constituera un investissement d'avenir sur lequel il ne sera pas nécessaire de revenir au bout de 5 ou 10 ans.
Merci.
Contribution n°262 (Web)
Par ludovic
Déposée le 6 juillet 2025 à 10h38
Déposée le 6 juillet 2025 à 10h38
Je suis favorable a se projet comme aussi pour le contournement d'Avranches en venant de Mortain car utiliser les freins et laisser les voitures tourner quand sa roule au ralenti c'est pas bon pour l'environnement
Contribution n°261 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h56
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h56
bonjour
Notre président du départemental réagit suite aux concertations et constate enfin que des riverains et usagers souffrent sur cette route !Il est grand temps..... Rien n'est perdu donc
Que certains relèvent :
qu'il n y a pas de bouchons est faux : chaque jour il y a des ralentissements aux ronds points créés et il n'y a aucune fluidité puisqu'il n' y a plu de créneaux de dépassements .
que l'on peut aménager la route actuelle est faux : il y a trop d'habitations aux abords de cette route et le trafic y est bcp trop dense .
que la création d'une nouvelle route va accentuer les problèmes environnementaux est faux :
sur un axe rapide donc sans ronds points : pas décélérations pas d’accélérations , pas de bouchons donc bcp moins de polluants émis par les véhicules .Les terrains sont déjà acquis !
Oui un axe rapide avec créneaux de dépassement et sans ronds points entre GRANVILLE ET AVRANCHES et le plus vite possible .
Notre président du départemental réagit suite aux concertations et constate enfin que des riverains et usagers souffrent sur cette route !Il est grand temps..... Rien n'est perdu donc
Que certains relèvent :
qu'il n y a pas de bouchons est faux : chaque jour il y a des ralentissements aux ronds points créés et il n'y a aucune fluidité puisqu'il n' y a plu de créneaux de dépassements .
que l'on peut aménager la route actuelle est faux : il y a trop d'habitations aux abords de cette route et le trafic y est bcp trop dense .
que la création d'une nouvelle route va accentuer les problèmes environnementaux est faux :
sur un axe rapide donc sans ronds points : pas décélérations pas d’accélérations , pas de bouchons donc bcp moins de polluants émis par les véhicules .Les terrains sont déjà acquis !
Oui un axe rapide avec créneaux de dépassement et sans ronds points entre GRANVILLE ET AVRANCHES et le plus vite possible .
Contribution n°260 (Web)
Par Fillatre Claude
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h52
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h52
Je suis favorable à un aménagement URGENT de l axe avranches Granville.
déviation sur les points saturés et dangereux que sont les secteurs de la Cci et du croissant, la Maréchalerie et la Havaudiere.
Afin de fluidifier les flux, il est indispensable de créer un maximum de créneaux de dépassements plus efficaces que les bandes multifonctions, qui ne sont pas assez larges pour les engins agricoles actuels, et les cyclistes se plaignent des graviers qui s accumulent et qui rendent ces bandes dangereuses .
La diminution de la vitesse et la multiplication des radars sur cet axe ne solutionne en rien l encombrement routier.
Cette route doit être aménagée pour que la vitesse autorisée passe à 90 km/h. N oublions pas que les saturations quotidiennes le matin et le soir sont subies pas des personnes qui se rendent au travail.
Le Granvillais ne doit pas devenir une réserve pour retraités en quête de tranquillité et indifférents au monde économique qui finance leur retraite et prépare l avenir.
déviation sur les points saturés et dangereux que sont les secteurs de la Cci et du croissant, la Maréchalerie et la Havaudiere.
Afin de fluidifier les flux, il est indispensable de créer un maximum de créneaux de dépassements plus efficaces que les bandes multifonctions, qui ne sont pas assez larges pour les engins agricoles actuels, et les cyclistes se plaignent des graviers qui s accumulent et qui rendent ces bandes dangereuses .
La diminution de la vitesse et la multiplication des radars sur cet axe ne solutionne en rien l encombrement routier.
Cette route doit être aménagée pour que la vitesse autorisée passe à 90 km/h. N oublions pas que les saturations quotidiennes le matin et le soir sont subies pas des personnes qui se rendent au travail.
Le Granvillais ne doit pas devenir une réserve pour retraités en quête de tranquillité et indifférents au monde économique qui finance leur retraite et prépare l avenir.
Contribution n°259 (Web)
Anonyme
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h14
Déposée le 6 juillet 2025 à 09h14
Il faut aménager l axe existant en y créant des voies de dépassement. Ceci dans un intérêt écologique et économique. L axe étant déjà tracé, il ne sert à rien de créer une autre route et de préempter des terrains qui appartiennent à des citoyens alors que la route Avranches Granville est droite et sans danger.
Contribution n°258 (Web)
Par Thomas julie
Déposée le 5 juillet 2025 à 20h00
Déposée le 5 juillet 2025 à 20h00
J'emprunte tous les jours l'axe Avranches Granville, pour me rendre à Avranches. De mon point de vu, une 2x2 voies n'est pas la solution. Il serait intéressant de développer des parkings de covoiturage, des transports en commun réguliers soit 1 à 2 toutes les heures.
Je suis prête à prendre le bus pour me rendre à mon travail. Actuellement, je fais du covoiturage.
Ayant travaillé et roulé en région parisienne, l'axe Avranches Granville n'est pas engorgé, la circulation reste fluide et je roule en moyenne à 70 80 km/h.
En fonction de la saison, certains tracteurs ralentissent le traffic mais cela n'est pas une difficulté du fait des zones de dépassement.
Enfin, nous avons une belle région, de nouveaux travaux seraient à l'encontre de la préservation de la biodiversité.
En conclusion, je suis contre une 2x2 voies et/ ou des contournements.
Je suis prête à prendre le bus pour me rendre à mon travail. Actuellement, je fais du covoiturage.
Ayant travaillé et roulé en région parisienne, l'axe Avranches Granville n'est pas engorgé, la circulation reste fluide et je roule en moyenne à 70 80 km/h.
En fonction de la saison, certains tracteurs ralentissent le traffic mais cela n'est pas une difficulté du fait des zones de dépassement.
Enfin, nous avons une belle région, de nouveaux travaux seraient à l'encontre de la préservation de la biodiversité.
En conclusion, je suis contre une 2x2 voies et/ ou des contournements.
Contribution n°257 (Web)
Anonyme
Déposée le 5 juillet 2025 à 18h41
Déposée le 5 juillet 2025 à 18h41
Il manque un panneau indicateur concernant la concertation au niveau du rond point nord de sartilly (route de granville) près du radar dommage
Les avis des utilisateurs qui se font prendre au flash est d’une grande importance.
Les avis des utilisateurs qui se font prendre au flash est d’une grande importance.
Contribution n°256 (Web)
Par la déroute de sroutes iunter lutte
Déposée le 5 juillet 2025 à 18h25
Déposée le 5 juillet 2025 à 18h25
Destinataire(s) : Premier ministre, Ministre des transports, Ministre de la Transition Ecologique
Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !55 projets routiers sont actuellement contestés, partout en France, par des collectifs citoyens et des associations. Nos calculs révèlent que le coût total de ces projets représenterait actuellement un gaspillage de 18 milliards d'argent public, engagés dans le fret routier et le bétonnage de terres agricoles et naturelles.
Nos collectifs se mobilisent pour demander que l'argent public soit utilisé par l'État pour engager de véritables politiques publiques de transports collectifs et doux et de transport de marchandises par le rail et le fluvial pour cesser la surenchère routière qui nous conduit droit dans le mur.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de :
- diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation
- diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact.
L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires.
Il est encore temps de prendre un autre chemin, et de stopper la destruction des paysages et la course folle vers l'augmentation des pollutions et émissions de CO2. Le Pays de Galles l'a déjà fait, pourquoi pas nous ?
Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses :
- Construire des routes, c'est augmenter le trafic routier et l'étalement urbain. Un nouvel aménagement routier ne fait pas gagner de temps, au contraire. Les nouvelles routes induisent du trafic, et multiplient l'artificialisation des terres naturelles et agricoles en facilitant par exemple l'implantation de zones pavillonnaires ou logistiques. Aucune nouvelle route n'a jamais réduit les embouteillages, c'est un mensonge. Au contraire elle sera très vite saturée par de nouveaux bouchons.
- Construire des routes, c'est augmenter les émissions de gaz à effet de serre, alors qu’il est urgent de les réduire pour lutter contre le changement climatique.
- Construire des routes, c'est détruire des milliers d'hectares d'espaces naturels, agricoles et forestiers. C'est détruire des écosystèmes, des espèces protégées, et abîmer la biodiversité.
- Construire des routes c'est gaspiller 18 milliard d'euros d'argent public, 18 milliards ! Imaginez tous les services publics qui pourraient être améliorés, créés. Plus de trains, plus d'écoles et de professeurs, des hôpitaux et des soignant-es traité-es correctement, plus de moyens pour la protection de l'enfance. De l'argent au service de l'intérêt général, non pas des intérêts privés des bétonneurs !
- Construire des routes, c'est nous enfermer toujours plus dans un modèle tout voiture, insoutenable socialement comme écologiquement. L'essence, les voitures thermiques ou électriques, tout ce qui est nécessaire au transport routier, cela coûte aussi cher, très cher, à toutes les personnes qui ont besoin de se déplacer quotidiennement. La route n'est pas un moyen de transport accessible à tout le monde, et les nombreux projets d'autoroute à péage vont augmenter encore la facture des usagers.
- Construire des routes c'est augmenter la pollution chronique ou accidentelle liée à la circulation des personnes et des marchandises par la route. Les risques que ce mode de transports fait peser sur notre santé à toutes et tous, en polluant l'air que l'on respire, en menaçant les ressources en eau, et par le bruit infernal de la circulation, sont inacceptables !
Nous, collectifs en lutte contre les projets, nous unissons nos forces pour lutter contre l'artificialisation à marche forcée de nos terres agricoles et naturelles, et pour engager la nécessaire sortie de route de tous les projets climaticides.
Nous demandons aux parlementaires de nous rejoindre et de soutenir les luttes, en s'engageant à soutenir à l'Assemblée Nationale et au Sénat la proposition d'un moratoire sur tous les projets routiers, dans l'attente de leur ré-examen au regard des stratégies fixées par l’État et des enjeux climatiques, écologiques et sanitaires auxquels nous faisons face.
Nous demandons à Clément Beaune et Élisabeth Borne de faire preuve de bon sens, d'entendre et d'étudier cette proposition.
Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous !
Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute !
Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !Un moratoire pour dire stop aux projets routiers destructeurs !55 projets routiers sont actuellement contestés, partout en France, par des collectifs citoyens et des associations. Nos calculs révèlent que le coût total de ces projets représenterait actuellement un gaspillage de 18 milliards d'argent public, engagés dans le fret routier et le bétonnage de terres agricoles et naturelles.
Nos collectifs se mobilisent pour demander que l'argent public soit utilisé par l'État pour engager de véritables politiques publiques de transports collectifs et doux et de transport de marchandises par le rail et le fluvial pour cesser la surenchère routière qui nous conduit droit dans le mur.
Pourquoi faut-il agir maintenant ?
La France s'est engagée dans la Stratégie Nationale Bas Carbone et à l'objectif Zéro Artificialisation Nette (ZAN) en 2050. Ces stratégies impliquent de :
- diviser par 2 la consommation d'espace sur la décennie qui arrive par rapport à la précédente. Hors les 55 projets contestés représentent actuellement 8000 hectares d'artificialisation
- diminuer de 40% nos émissions territoriales en 2030 par rapport à 1990. Mais les émissions de Gaz à Effet de Serre territoriales supplémentaires dues aux projets d'aménagement routiers prévus par l’État ne sont pas compatibles avec les objectifs fixés en la matière. Et la question du trafic induit n'est que rarement prise en compte dans les études d'impact.
L’État mène donc un double discours et un double jeu. D'un côté, il fixe des objectifs chiffrés pour réduire notre impact climatique et environnemental, de l'autre, il soutient financièrement et politiquement des dizaines de projets contestables et contestés au regard des enjeux écologiques, climatiques et sanitaires.
Il est encore temps de prendre un autre chemin, et de stopper la destruction des paysages et la course folle vers l'augmentation des pollutions et émissions de CO2. Le Pays de Galles l'a déjà fait, pourquoi pas nous ?
Les raisons de s'opposer à tous ces projets existent, elles sont simples, et elles sont nombreuses :
- Construire des routes, c'est augmenter le trafic routier et l'étalement urbain. Un nouvel aménagement routier ne fait pas gagner de temps, au contraire. Les nouvelles routes induisent du trafic, et multiplient l'artificialisation des terres naturelles et agricoles en facilitant par exemple l'implantation de zones pavillonnaires ou logistiques. Aucune nouvelle route n'a jamais réduit les embouteillages, c'est un mensonge. Au contraire elle sera très vite saturée par de nouveaux bouchons.
- Construire des routes, c'est augmenter les émissions de gaz à effet de serre, alors qu’il est urgent de les réduire pour lutter contre le changement climatique.
- Construire des routes, c'est détruire des milliers d'hectares d'espaces naturels, agricoles et forestiers. C'est détruire des écosystèmes, des espèces protégées, et abîmer la biodiversité.
- Construire des routes c'est gaspiller 18 milliard d'euros d'argent public, 18 milliards ! Imaginez tous les services publics qui pourraient être améliorés, créés. Plus de trains, plus d'écoles et de professeurs, des hôpitaux et des soignant-es traité-es correctement, plus de moyens pour la protection de l'enfance. De l'argent au service de l'intérêt général, non pas des intérêts privés des bétonneurs !
- Construire des routes, c'est nous enfermer toujours plus dans un modèle tout voiture, insoutenable socialement comme écologiquement. L'essence, les voitures thermiques ou électriques, tout ce qui est nécessaire au transport routier, cela coûte aussi cher, très cher, à toutes les personnes qui ont besoin de se déplacer quotidiennement. La route n'est pas un moyen de transport accessible à tout le monde, et les nombreux projets d'autoroute à péage vont augmenter encore la facture des usagers.
- Construire des routes c'est augmenter la pollution chronique ou accidentelle liée à la circulation des personnes et des marchandises par la route. Les risques que ce mode de transports fait peser sur notre santé à toutes et tous, en polluant l'air que l'on respire, en menaçant les ressources en eau, et par le bruit infernal de la circulation, sont inacceptables !
Nous, collectifs en lutte contre les projets, nous unissons nos forces pour lutter contre l'artificialisation à marche forcée de nos terres agricoles et naturelles, et pour engager la nécessaire sortie de route de tous les projets climaticides.
Nous demandons aux parlementaires de nous rejoindre et de soutenir les luttes, en s'engageant à soutenir à l'Assemblée Nationale et au Sénat la proposition d'un moratoire sur tous les projets routiers, dans l'attente de leur ré-examen au regard des stratégies fixées par l’État et des enjeux climatiques, écologiques et sanitaires auxquels nous faisons face.
Nous demandons à Clément Beaune et Élisabeth Borne de faire preuve de bon sens, d'entendre et d'étudier cette proposition.
Ce que nous voulons, ce sont des mobilités choisies, et non subies, accessibles à toutes et tous !
Soutenez, rejoignez nos luttes, demandez avec nous ce moratoire, pour mettre les routes en déroute !
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